La formation en géobiologie et magnétisme du centre de formation de l’ermitage à Dijon

Ce rapprochement provoque naturellement pour Molinari la spécialisation des fonctions, des occupations. D’abord dans la famille[1], ensuite en peuplades, en tribus, en nations, etc. Se développe ainsi progressivement le processus de la division du travail et de la géobiologie qui « s’établit parmi les hommes qui vont à la chasse ou à la guerre. L’un d’entre eux à le coup d’œil plus sûr, l’esprit plus délié, l’intelligence plus vaste que le commun de ses compagnons (…) On le charge de diriger les expéditions de la géobiologie. Il soumet la troupe, dont le gouvernement lui a été confié dans l’intérêt commun, à une certaine organisation, à une discipline » (Molinari [1863], 60). C’est l’intérêt d’une formation ou d’un stage en magnétisme à Dijon. Le centre de formation de l’Ermitage propose également d’excellents stages en magnétisme à Dijon, en passeur d’âmes à Dijon, en blessures de l’âmes à Dijon, en radiesthésie à Dijon, en pendule à Dijon et bien évidemment en géobiologie à Dijon.

A – La géobiologie au quotidien

La division du travail qui naît de cette spécialisation des métiers permet de rendre la production plus abondante et plus facile en géobiologie et magnétisme à Dijon. Cette division du travail, qui va sans cesse en s’accroissant, se propage à l’ensemble des biens et services, à l’ensemble des richesses. « Le monde offre ainsi le spectacle d’une multitude d’industries appliquées à satisfaire les besoins physiques, intellectuels et moraux de l’homme.

Chacune de ces industries s’exerce, communément du moins dans la géobiologie, radiesthésie et âmes à Dijon contemporaine, dans des ateliers spéciaux où se trouvent groupés des travailleurs plus ou moins nombreux qui combinent, en vue de l’œuvre commune, les forces productives dont ils disposent et qui exécutent chacun une opération particulière » (Molinari [1855], 66). La division du travail pour la géobiologie, dont Adam Smith a montré tous les avantages, repose donc sur les facultés ou aptitudes différentes et sur la distribution inégale des éléments naturels de la production. Mais quelle est la conséquence de la division du travail ? Pourquoi chaque homme va produire une partie de plus en plus infime d’une marchandise ?

B – La géobiologie dans les mains des géobiologues

La division du travail implique l’échange. « Si un homme passe sa vie à fabriquer des têtes d’épingles, un autre à filer ou à tisser du coton, un troisième à cultiver du blé, ils devront se procurer par l’échange de ces produits tout ce qui est nécessaire à la satisfaction de leurs besoins, car on ne se nourrit pas avec des têtes d’épingles ou des fils de coton et l’on ne s’habille pas avec des grains de blé » (Molinari [1855], 73-74). Ainsi, l’échange et la géobiologie est le complément naturel de la séparation des industries, « et plus le travail est divisé au sein d’une société, plus les échanges doivent y être multipliés » (Molinari [1855], 74). Cet échange et la division du travail et la géobiologie qui lui est associé ne provient que de la multiplicité des besoins de l’homme.

C – La multiplicité de la formation géobiologie à Dijon

Si celui-ci, comme un bête, se contentait des besoins d’alimentation et de reproduction, les échanges existeraient-ils ? Echangerait-on du blé contre du blé ? « Le phénomène de la division du travail et celui de l’échange ont entre eux la corrélation la plus intime. Si le travail n’est point divisé, il n’y aura pas d’échanges ni de géobiologie ni magnétisme ni âmes à dijon. D’un autre côté, si les échanges ne sont point possibles, ou si quelque obstacle naturel ou artificiel[2] vient les restreindre, il n’y aura point de division du travail, ou il en aura moins » (Molinari [1855], 75).

L’échange inclut quelqu’un qui offre les choses qu’il produit et demande, en échange, les choses qu’il consomme. Naît ainsi l’offre et la demande de formation en magnétisme à Dijon, la formation géobiologie à Dijon, la formation passeur d’âmes à Dijon, la formation Blessures de l’âmes à Dijon, la formation radiesthésie à Dijon ; et l’endroit où se concluent les échanges se nomme le marché. L’échange implique toujours deux processus. « Nul ne peut demander une marchandise sans en avoir une autre à offrir en échange, puisqu’il ne peut y avoir de demande sans offre » (Molinari [1855], 80).

Deux circonstances pour la meilleure formation en géobiologie peuvent caractériser le marché dans lequel se concluent les échanges : le monopole ou la concurrence. Le monopole peut être naturel ou artificiel. « Lorsqu’une denrée est offerte au marché par deux ou plusieurs individus, sans qu’il y ait accord entre eux, on dit qu’il y a concurrence et la géobiologie. La concurrence est plus ou moins vive, selon que les individus qui offrent simultanément et sans se concerter la même denrée, en ont une quantité plus ou moins considérable, et son plus ou moins pressés de s’en défaire pour obtenir d’autres denrées en échange » (Molinari [1855], 81).

D – La géobiologie et les économistes

Walras fournit une analyse à peu près identique de l’origine de la valeur, mais il ne va pas procéder de la même manière. Pour lui, « deux faits sont à la base de la physiologie et de la psychologie de l’homme : ce sont l’aptitude à la division du travail et la personnalité morale » (Walras [1996], 118). Seul le premier nous intéresse ici. La division du travail en géobiologie et magnétisme à Dijon est pour Walras un fait naturel « en ce sens qu’il ne dépend de nous d’être bipèdes ou quadrupèdes, bimanes ou quadrumanes.

En d’autres termes, nous divisons naturellement le travail comme nous sommes naturellement bipèdes et bimanes » (Walras [1996], 119). De cette division du travail en géobiologie, passeur d’âmes et magnétisme à Dijon, découle, comme nous l’avons remarqué avec Molinari, l’échange qui en est le complément et qui est comme le premier processus, naturel. « Le fait de la valeur d’échange prend, une fois établir, le caractère d’un fait naturel, naturel dans son origine, naturel dans sa manifestation et sa manière d’être » (Walras [1988], 50). Mais sur quelle base l’échange va-t-il avoir lieu[3] pour la formation en géobiologie ?

Qu’est-ce qui détermine qu’un objet a plus de valeur qu’un autre dans une formation en géobiologie et magnétisme à Dijon ? Nous allons examiner les sources de la valeur et plus particulièrement pour commencer, les sources probables.

[1] « Plus robuste et plus courageux que sa compagne, l’homme se charge d’aller poursuivre, dans les bois ou sur les eaux, la proie nécessaire à l’alimentation commune. La femme prépare les aliments et vaque aux autres travaux intérieurs de l’habitation. Parmi les enfants, les plus faibles assistent la mère, les plus forts accompagnent le père. Voilà la division du travail à l’état rudimentaire » (Molinari [1863], 59).

[2] On reconnaît ici un défenseur des idées de liberté du commerce que l’on retrouve dans la maxime qui caractérise l’école française du XIXe siècle : laisser-faire, laisser-passer.

[3] N’oublions pas, d’après ce que nous venons de dire, que « la valeur en géobiologie est l’évaluation économique du résultat de l’activité productive (Lallement [1990], 655).